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  • Rappel de vaccination (3e dose)

    Afin d’assurer l’efficacité de la vaccination contre les hépatites A et B (Twinrix), trois (3) doses sont nécessaires :

    1re


    2e :

    1 mois suivant la première dose

    3e :

    6 mois suivant la première dose

    Cet outil permet de vous expédier un rappel amical pour votre 3e dose du vaccin.

    Veuillez saisir la date de la deuxième dose reçue ainsi que votre adresse électronique. Vous recevrez un avis dans cinq (5) mois.

    Date du deuxième vaccin :

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    Comment l’herpès se transmet-il?

    Le virus de l’herpès génital est transmis par les contacts sexuels. Ce n’est pas une infection qui se transmet par les ustensiles, les serviettes ou les savons – bien que ce soit une question fréquente. Le VHS peut se transmettre par simple contact de la peau (organes génitaux) ou par contact avec des sécrétions génitales contaminées. Ceci veut dire qu’il y a un risque associé à la pénétration sexuelle (vaginale, anale ou buccale), mais aussi à un contact direct sans pénétration. Une fois qu’on est exposé à ce virus, une période d’incubation de 2 à 20 jours s’ensuit avant le développement des premiers symptômes (infection initiale primaire). Selon de nombreuses études, la majorité des personnes infectées par l'herpès génital ignorent qu'elles le sont. En effet, la majorité des personnes infectées peuvent ne pas développer de symptômes, ou avoir des symptômes atypiques ou mineurs, ignorant ainsi qu'elles sont infectées.

    Le moment le plus risqué de transmettre ou de contracter l’herpès génital est lorsque que vous ou votre partenaire infecté souffrez d’une crise d’herpès. Nous croyons que cette période à risque de transmission inclut les 12 à 24 heures précédant l’apparition visuelle des lésions de la peau (lorsque le virus se reproduit dans les cellules nerveuses). Plusieurs individus qui éprouvent des récidives d’herpès génital peuvent identifier le début d’une crise par leur « prodrome » — symptôme annonciateur d'une crise aiguë, qui peut comprendre des sensations neurologiques étranges, telles que des démangeaisons ou des engourdissements, dans la région où les lésions ont tendance à se localiser. Les risques de transmission commencent à partir de ce moment et persistent jusqu’à ce que les lésions soient complètement recouvertes d’une gale.

    Les risques de transmission diminuent en l'absence de lésions, quoiqu’ils demeurent toujours présents. Dans le passé, nous avons cru à tort que s’il n’y avait pas de lésions sur la peau, il n’existait aucun risque de transmission. Des études ont démontré que les individus infectés par l’herpès génital peuvent en fait excréter le virus de l’herpès à travers la peau de façon occasionnelle, même sans éprouver de symptômes. Le taux d’excrétion asymptomatique peut varier considérablement d’une personne à l’autre, et d’une étude à l’autre. On soupçonne que cette excrétion se produit un jour sur dix… Évidemment, il est impossible de savoir quel jour (en dehors d’études cliniques). Cette situation s’avère particulièrement frustrante pour les patients et les couples qui vivent avec l’herpès (voir ci-dessous).

    Il est donc important de se rappeler que si on est porteur de l'herpès buccal (les feux sauvages), ce qui est fréquent, on peut le transmettre lors de relations sexuelles oro-génitales.

    Herpès génital
    Herpès génital