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Lorsque les hommes ont des symptômes, ils peuvent avoir un écoulement (purulent, liquide ou laiteux) du pénis, une sensation de brûlure au passage de l’urine, ou les testicules enflés et douloureux (orchite et/ou épididymite).
Ces symptômes sont semblables à ceux causés par la gonorrhée. On l’appelle aussi l’urétrite non gonococcique (UNG). Souvent, les hommes ne prennent pas ces symptômes au sérieux, car les symptômes peuvent être présents seulement tôt le matin et être très légers. Les symptômes peuvent disparaître complètement, cependant la personne demeure porteuse, peut le transmettre et développer des complications.
Chez les femmes autant que chez les hommes, la chlamydia peut provoquer des picotements ou des saignements au rectum. Elle peut aussi causer des pertes et de la diarrhée (proctite). Si elle infecte les yeux, la chlamydia peut causer des rougeurs, des picotements et des sécrétions. La conjonctivite à chlamydia demeure une complication peu fréquente.
Il existe aussi des souches de chlamydia qui sont responsables d’une autre infection transmise sexuellement que l’on appelle le lymphogranulome vénérien. Cette infection est rencontrée plus fréquemment dans les pays en voie de développement, mais elle est quand même répandue à travers le monde. Aux États-Unis, elle est plus fréquente chez les hommes homosexuels et elle est une des causes de la proctite et de la colite (inflammation du gros intestin).
L’infection à chlamydia est souvent associée à une infection gonococcique. Donc, toutes les personnes qui reçoivent un diagnostic d’une infection à gonorrhée devraient aussi être évaluées pour une infection à chlamydia.